S’il y a quelques années, certains n’hésitaient pas à dépenser plusieurs milliers d’euros pour l’acquisition d’un cheval, aujourd’hui, la plupart des propriétaires ne sont plus en mesure d’assurer les frais d’entretien de leur monture. L’hébergement, le ferrage et les frais de vétérinaire s’élèvent en moyenne à 300 € par mois. Une charge trop élevée pour nombre de familles touchées par la crise. Les éleveurs tentent dès lors de se débarrasser de leurs chevaux.
Mais les acheteurs sont rares. Le quotidien El País relate l’histoire de ce petit éleveur qui avait payé 25,000 € pour deux mâles et une femelle de pure race espagnole. Huit ans plus tard, il a réussi à vendre les mâles pour 1000 € et a offert la femelle.
Quant aux refuges, ils débordent déjà de bêtes abandonnées. Les propriétaires choisissent donc souvent de sacrifier leur animal. Tant et si bien que les listes d’attente des abattoirs s’allongent de plus en plus.
Selon les statistiques du ministère de l’Environnement, 60.391 chevaux ont été abattus au cours des 10 premiers mois de l’année 2012. C’est plus du double que sur toute l’année 2009, au début de la crise.
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